Arrête de crier : la méthode qui a changé ma vie (et celle de mes enfants)
Le cercle vicieux des cris
C’était un matin comme tant d’autres. Je manquais de sommeil, la journée s’annonçait chargée, et l’heure tournait. Mon fils de 5 ans luttait avec ses lacets, les doigts maladroits, le front plissé par la concentration. « Dépêche-toi, on va être en retard ! » ai-je lancé d’une voix déjà agacée. Mais il n’y arrivait pas. J’ai senti monter cette boule de frustration dans ma poitrine.
Et puis, j’ai explosé.
« Mais ce n’est pas possible ! Tu ne peux pas faire un effort ?! » Ma voix a claqué dans l’air comme un coup de tonnerre. Il a levé les yeux vers moi, surpris, blessé. Puis, sans un mot, il a baissé la tête et abandonné ses lacets pour enfiler ses chaussures n’importe comment. Ce n’était plus l’urgence du retard qui me pesait, mais ce pincement au cœur. Pourquoi avais-je crié pour si peu ? Pourquoi cette colère démesurée ?
Ce matin là, j’ai compris que cela devait changer.
Crier : un réflexe qui ne fonctionne pas
Quand on est maman, on se jure qu’on sera patiente, douce, bienveillante. Puis la fatigue s’accumule, les frustrations grandissent, et avant même de s’en rendre compte, on se surprend à crier pour obtenir un minimum de coopération. Le pire ? C’est que ça ne marche même pas. Plus on crie, plus ils résistent, plus ils deviennent sourds à nos demandes. Et nous ? On se sent coupable, mauvaise mère, incapable de faire autrement.
Si tu te reconnais dans ce schéma, sache que tu n’es pas seule. J’y ai été plongée pendant des années, persuadée qu’il n’existait pas d’autre moyen de me faire entendre. Jusqu’au jour où j’ai découvert une méthode qui a radicalement transformé ma relation avec mes enfants.
Dans cette WONDER MISSIVE, je vais te partager certains outils qui m’ont permis d’arrêter de crier, pas en me forçant à me taire, mais en travaillant en profondeur sur ma posture parentale. Parce qu’en réalité, le problème n’est pas que nos enfants n’écoutent pas… c’est que nous utilisons une stratégie qui ne peut pas fonctionner.
Prête à découvrir une autre façon de faire ? Suis-moi, je t’emmène sur un chemin plus apaisé. 💛
1. Pourquoi crions-nous ? Comprendre les déclencheurs
Ce matin-là, quand j’ai crié sur mon fils pour une histoire de lacets, ce n’était pas vraiment contre lui que ma colère était dirigée. C’était contre le stress du matin, contre la fatigue accumulée, contre cette impression de tout porter seule. Mais lui, il ne pouvait pas le savoir. Il a juste entendu ma voix forte et a ressenti ma frustration comme si elle lui était entièrement destinée.
Et si on prenait un instant pour comprendre pourquoi nous crions vraiment ? Parce qu’avant de chercher à arrêter, il faut d’abord identifier ce qui déclenche ces réactions.
1.1. La fatigue et la charge mentale : le cocktail explosif
On parle souvent du manque de sommeil chez les bébés, mais qui parle du manque de sommeil des mamans ? Quand on est épuisée, chaque petite contrariété prend des proportions énormes. Un enfant qui traîne, un verre renversé, un jouet laissé par terre… et tout à coup, c’est l’explosion.
Mais derrière ce ras-le-bol, il y a souvent une charge mentale écrasante. Penser à tout, tout le temps. Les repas, l’école, les rendez-vous, le linge, le boulot, les humeurs de chacun. On accumule, on encaisse, et à un moment, la cocotte-minute explose. Et souvent… ce sont nos enfants qui prennent.
1.2. Nos propres blessures et notre éducation
Si tu as grandi dans un environnement où les cris étaient monnaie courante, il y a de fortes chances que cette façon de faire soit devenue un réflexe inconscient. Peut-être qu’on t’a appris que l’autorité passait par l’élevage de voix. Peut-être que, petite, tu t’es sentie impuissante face aux colères des adultes… et que, sans le vouloir, tu reproduis aujourd’hui ce schéma.
Bonne nouvelle : ce n’est pas une fatalité. Comprendre que nos cris ne sont un automatisme hérité, c’est déjà une première étape pour en sortir.
1.3. L’illusion du contrôle : "Si je ne crie pas, ils n’écoutent pas"
On a toutes déjà eu cette pensée : « Si je ne hausse pas le ton, ils ne réagissent pas. » Et c’est vrai… dans un premier temps. Mais si crier était vraiment une solution efficace, on n’aurait pas besoin de le faire sans arrêt, non ?
La vérité, c’est que les enfants finissent par se blinder face aux cris. Soit ils deviennent résistants (« Même si elle crie, je continue »), soit ils deviennent soumis (« Je fais ce qu’elle dit, mais par peur »). Et dans les deux cas, ils n’apprennent pas vraiment à écouter.
Le vrai défi, c’est donc de trouver une autre manière de se faire entendre, une manière qui ne repose pas sur la peur ou la frustration. Et c’est justement ce que je vais partager avec toi dans la suite de cet article.
Pour conclure
Nous ne crions pas parce que nous sommes de mauvaises mères. Nous crions parce que nous sommes fatiguées, surchargées, prises dans des schémas inconscients et à la recherche d’un contrôle qui nous échappe.
Mais bonne nouvelle : il existe d’autres voies qui permettent de poser des limites sans crier, de se faire respecter sans s’épuiser, et de retrouver un quotidien plus serein avec nos enfants.
Dans la prochaine partie, on va voir pourquoi crier a un effet contre-productif sur les enfants… et sur nous-mêmes.
2. Les effets des cris sur les enfants (et sur nous)
Si crier fonctionnait, on ne le ferait qu’une seule fois. L’enfant entendrait, comprendrait, et ajusterait son comportement immédiatement. Pourtant, la réalité est bien différente. Plus on crie, plus on doit crier. C’est un cercle vicieux où ni nous ni nos enfants ne sortons gagnants.
Alors, que se passe-t-il exactement quand on crie ? Pourquoi cela nous épuise-t-il au lieu de nous aider ? Et surtout, quel impact cela a-t-il sur nos enfants ?
2.1. Le cerveau de l’enfant face aux cris : mode "survie" activé
Quand un enfant entend un cri, son cerveau perçoit un signal de danger. Il active alors une des trois réactions instinctives :
Fuir (il se ferme, évite le regard, cherche à se cacher).
Combattre (il répond, s’énerve, crie à son tour).
Se figer (il se bloque, ne répond plus, comme paralysé).
En d’autres termes, au lieu de comprendre ce qu’on attend de lui, il entre en mode "survie". À ce moment-là, il n’est plus dans une posture d’apprentissage, mais dans une posture de défense.
2.2. Les conséquences sur l’enfant : quand le message ne passe plus
À force de crier :
🔸 L’enfant devient résistant (« Elle crie toujours, donc je m’en fiche »).
🔸 Ou au contraire, il devient soumis (« Je fais ce qu’elle veut, mais par peur »).
🔸 Il perd confiance en lui (« Je suis nul, je fais toujours tout mal »).
🔸 Il associe l’autorité à l’agressivité (« Pour me faire écouter, il faut crier »).
Dans les deux cas, on s’éloigne de notre objectif : l’aider à apprendre et à coopérer avec nous.
2.3. L’impact sur nous : l’épuisement émotionnel
Crier nous draine. Après une explosion de colère, on ressent souvent :
💔 De la culpabilité (« Je suis une mauvaise mère… »).
💔 De l’épuisement (« J’ai tout donné, et pourtant rien ne change… »).
💔 Une perte de contrôle (« Je ne voulais pas en arriver là… »).
On finit par s’user émotionnellement et perdre confiance en nos capacités parentales. Plus on crie, plus on se sent dépassée… et plus on crie.
2.4. L’effet boomerang : quand les cris deviennent la norme
Nos enfants nous observent bien plus qu’ils ne nous écoutent. Si crier devient notre mode de communication principal, il devient aussi le leur.
➡️ Quand ils sont petits, ils reproduisent nos cris entre frères et sœurs.
➡️ En grandissant, ils se rebellent et nous crient dessus à leur tour.
➡️ Ou au contraire, ils deviennent des enfants qui se taisent trop, par peur de mal faire.
Et nous, on finit par se dire : « Pourquoi il crie comme ça ? Pourquoi il ne me parle pas ? » Sans réaliser que ce sont souvent nos propres réactions qui l’ont façonné.
Pour conclure
Crier n’est pas anodin. Ça ne nous aide pas, ça ne les aide pas. Et pire encore, ça installe une dynamique où l’écoute mutuelle disparaît au profit d’un rapport de force.
Mais alors, comment faire autrement ? Comment se faire entendre sans élever la voix ? Dans la prochaine partie, je vais te partager certains outils qui m’ont changé la vie et celle de mes enfants. Un concept qui ne repose ni sur la peur ni sur la soumission, mais sur une posture parentale ferme ET bienveillante.
3. Quelques outils qui ont tout changé pour moi
J’aurais aimé qu’on me dise un jour : « Tu peux être écoutée par tes enfantssans crier. Tu peux poser des limites sans t’épuiser. » Mais pendant longtemps, j’ai cru que crier était ma seule option. Jusqu’à ce que je réalise que le problème n’était pas que mes enfants n’écoutaient pas… C’était ma manière de communiquer qui ne fonctionnait pas.
Quand j’ai commencé à appliquer ces outils, quelque chose a changé. Non seulement mes enfants ont commencé à m’écouter plus vite et plus facilement, mais surtout, moi-même je me suis sentie plus calme, plus en maîtrise, plus alignée avec la maman que je voulais être.
Voici les 5 étapes clés qui m’ont permis de passer de maman qui crie à maman qui pose des limites avec fermeté et bienveillance.
Étape 1 : Identifier les moments où je crie le plus
Avant de changer mes réactions, j’ai d’abord pris conscience des moments où je criais le plus.
👉 Était-ce le matin, quand tout le monde traînait ?
👉 Était-ce le soir, quand la fatigue pesait et que personne ne voulait aller au lit ?
👉 Était-ce face à un comportement en particulier (désobéissance, cris, disputes entre frères et sœurs) ?
Prendre conscience des déclencheurs, c’était déjà reprendre du pouvoir sur moi-même. Je n’étais plus une maman qui explosait sans savoir pourquoi, j’étais une maman qui comprenait où était le problème.
Étape 2 : Trouver des alternatives immédiates
La première fois que j’ai essayé d’arrêter de crier, je me suis juste dit : « Ok, je ne crie plus. » Autant te dire que ça n’a pas duré longtemps. 😅
J’ai compris que remplacer un réflexe prend du temps, et surtout qu’il fallait des alternatives concrètes pour ne pas replonger dans mes anciens schémas.
Voici celles qui m’ont aidée :
✔️ M’appliquer un temps de pause : Changer de piece, respirer profondément avant meme de penser à régler le probleme (3 grandes inspirations).
✔️ Me donner une phrase "tampon" pour gagner du temps : « Je vais y répondre dans un instant. Pour le moment j’ai besoin d’y réflechir ». Parce que oui, qui a dit que tout devait etre réglé tout de suite ?
✔️ Changer mon ton, mais pas mon message : dire la même chose avec fermeté mais sans agressivité.
Petit à petit, j’ai remplacé mes cris par une posture plus posée, plus contenante.
Étape 3 : Réduire ma charge mentale pour ne plus être à bout
J’ai aussi compris une chose essentielle : une maman fatiguée est une maman qui crie.
Alors, j’ai appris à :
🛑 Déléguer (mes enfants peuvent faire certaines choses seuls).
🛑 Réduire le bruit mental (je n’ai pas à penser à tout, tout le temps).
🛑 Prioriser (tout n’est pas urgent, et je n’ai pas besoin de courir après la perfection).
Moins j’étais épuisée, plus j’étais capable de gérer les crises avec calme.
Étape 4 : Remplacer les cris par une communication ferme et bienveillante
Le problème, ce n’est pas de poser des limites. Le problème, c’est comment on les pose.
J’ai appris à :
✔️ Exprimer une attente claire (« Mets tes chaussures maintenant » au lieu de « Combien de fois je vais devoir te le répéter ?!? »).
✔️ Donner un choix limité (« Tu mets ton pyjama avant ou après l’histoire ? »).
✔️ Utiliser le contact visuel et me mettre à hauteur (un simple regard peut être plus puissant qu’un cri).
✔️ Les laisser affronter les conséquences avec calme (au lieu de menacer en criant et de ne jamais tenir mes paroles).
Et étonnamment, plus je parlais avec clarté et fermeté, plus mes enfants me répondaient avec respect et coopération.
Étape 5 : Faire équipe avec mes enfants
C’est l’étape qui a tout changé : au lieu de me battre contre eux, j’ai appris à travailler avec eux.
✔️ Les impliquer dans les règles (« Comment peut-on faire pour que le matin se passe mieux ? »). Je vous conseille vivement de mettre en place des routines, des accords clairs AVEC voS ENFANTS, plutot que de tout décider toute seule et d’attendre d’eux qu’ils obéissent sans poser de question.
✔️ Mettre en place des routines visuelles (plus besoin de répéter 100 fois).
✔️ Faire des réunions familiales pour anticiper les conflits. Ici, c’est tous les vendredi, et on appelle ca le M.E.F le moment d’echange en famille (Je te conseille de regarder ma vidéo sur Youtube)
Petit à petit, ils ont arrêté de se braquer contre moi, et ont commencé à prendre leur part de responsabilité.
Pour conclure
Crier ne m’a jamais apporté plus de sérénité. Au contraire, ça m’a rendue plus fatiguée, emplie d’un sentiment de culpabilité, et plus démunie.
Mais en appliquant ces 5 étapes, j’ai découvert qu’il était possible de se faire écouter sans hurler, de poser des limites sans s’épuiser, et de construire une relation plus forte et plus respectueuse avec mes enfants.
Dans la prochaine partie, je vais te raconter les résultats concrets que j’ai vus dans ma vie et celle de mes enfants depuis que j’ai adopté cette méthode. Parce que non seulement elle fonctionne, mais elle transforme tout.
4. Les résultats concrets dans ma vie et celle de mes enfants
Quand j’ai commencé à appliquer ces outils, je n’étais pas totalement convaincue. Et si mes enfants arrêtaient vraiment d’écouter ? Et si, sans mes cris, ils faisaient encore plus de bêtises ?
Mais jour après jour, j’ai observé des changements. Pas des miracles instantanés, non. Mais des petits déclics, des signes que quelque chose était en train de se transformer, en moi comme en eux. Aujourd’hui, plusieurs années après avoir arrêté de crier, je peux dire que ma maison n’est plus la même.
4.1. Moins de conflits, plus d’écoute
Avant, mes enfants me répondaient souvent par un « Oui, oui, j’arrive… » qui n’arrivait jamais. Résultat ? J’élevais la voix pour me faire entendre. Maintenant, je vois une réelle amélioration dans leur réactivité.
Pourquoi ? Parce que :
✔️ Ma voix a retrouvé de la valeur : quand je parle calmement, ils savent que je vais suivre mes demandes avec des actions claires.
✔️ Ils n’ont plus besoin de se braquer : avant, mes cris les mettaient en position de défense. Aujourd’hui, ils se sentent écoutés, donc ils coopèrent plus facilement.
✔️ Je suis plus constante : mes limites sont claires, je ne laisse pas les situations dégénérer au point d’exploser.
Un matin, mon petit dernier galérait avec ses lacets m’a regardée et m’a dit :
👉 « Maman, tu peux m’aider ? J’ai encore du mal. »
Au lieu de se figer de peur comme pouvait le faire son grand frere à son age, en attendant que je m’énerve, il a osé me demander de l’aide. Et ça, c’était une énorme victoire.
4.2. Une ambiance plus sereine à la maison
Avant, nos journées étaient souvent ponctuées de tensions. Le matin, c’était la course. Le soir, la fatigue rendait tout plus difficile. Je finissais mes journées vidée, culpabilisant sur mes explosions de colère.
Aujourd’hui, je ne vais pas te mentir : tout n’est pas parfait. Mais il y a beaucoup moins de stress.
✔️ Les routines sont plus fluides : parce qu’on a anticipé les points de friction.
✔️ Moins de cris = moins d’émotions négatives qui plombent l’ambiance familiale.
✔️ Je me sens plus en contrôle : pas en mode « autorité militaire », mais en mode maman qui sait où elle va.
Et franchement, rentrer dans une maison où l’on se sent apaisée plutôt que sur le qui-vive, c’est un vrai changement de vie.
4.3. Une relation plus forte avec mes enfants
Avant, il y avait une distance invisible entre mes enfants et moi. Ils m’aimaient, bien sûr, mais dans leurs yeux, je voyais parfois une forme de peur ou d’appréhension. Peur de mal faire, peur que je m’énerve.
Maintenant :
✔️ Ils osent plus parler : ils me confient leurs soucis sans craindre ma réaction.
✔️ Ils me respectent vraiment : pas par peur, mais parce qu’ils savent que je suis une maman qui écoute et pose des limites justes.
✔️ Ils me font plus confiance : au lieu de cacher leurs erreurs, ils viennent me voir quand ils ont un problème.
Un soir, alors qu’on discutait ensemble, l’un de mes enfants m’a dit :
👉 « Avant, je croyais que t’étais toujours énervée contre moi… mais maintenant, je sais que tu veux juste m’aider. »
Cette phrase m’a bouleversée. Je ne voulais pas être une maman qui fait peur, je voulais être une maman qui guide.
4.4. Moi aussi, j’ai changé
Le plus beau cadeau de cette transformation, c’est que je ne suis plus esclave de mes émotions. Avant, je me sentais dépassée, impuissante face à mes propres réactions. Aujourd’hui :
✔️ Je ressens plus de fierté que de culpabilité en fin de journée.
✔️ Je suis capable de gérer les tensions sans exploser.
✔️ Je me sens plus alignée avec la mère que je veux être.
Parce qu’en réalité, arrêter de crier ne change pas seulement les enfants. Ça change aussi la maman que nous sommes.
Pour conclure
Depuis que j’ai arrêté de crier, ma maison est plus calme, mes enfants écoutent mieux, et surtout… je me sens enfin en paix avec moi-même.
Si tu es dans cette spirale des cris et que tu veux en sortir, sache que c’est possible. Ça demande des ajustements, un peu de patience, mais les résultats sont là.
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